La présentation officielle de la marque de vêtements a eu lieu dimanche 17 novembre 2019 à Douala.C’était au cours d’une conférence de presse donnée par le promoteur
Au cours des échanges avec les hommes et femmes des médias,Arnaud de Wecapounet,le promoteur de I’AM 237 a précisé que la marque entend révolutionner les codes vestimentaires au Cameroun,en Afrique et au-delà des frontières du continent noir.I’AM 237 est une marque cent pour cent camerounaise dont l’objectif est d’encourager les Camerounais à consommer le made in Cameroon.I’AM « je suis » traduit en langue française,c’est une identification de soi,une reconnaissance personnelle.Conscient de ce que l’on peut partir de rien pour construire tout un monde,le jeune entrepreneur n’hésite pas à se lancer dans cette aventure.Une aventure qui pourtant ne lui était pas prédestinée.Comptable de formation il se retrouve dans le domaine de la couture du jour au lendemain après un passage à vide d’ordre professionnel.Et c’est en novembre 2015 que Arnaud de Wecapounet prend son destin en mains.Avec un capital de sept milles Fcfa il débute sa carrière de designer.De réalisations en réalisations il agrandit son business et réussit à ouvrir son entreprise en juillet 2015.Une structure avec comme objectif premier de produire et commercialiser les produits I’AM 237.《I’AM 237 c’est des tee-shirts,sacs à dos,casquettes,bombers,espadrilles…La particularité de I’AM 237 c’est l’innovation tous les jours.》explique Arnaud de Wecapounet.
Dans un milieu de la mode hautement concurrentiel,il soutient vendre beaucoup plus l’état d’esprit des individus 《Comment est- ce qu’on peut réussir à partir de rien? Comment est- ce qu’on peut réaliser quelque chose qu’on n’a jamais fait et réussir à s’en sortir?》Honnêtement mon but n’est pas aussi de concurrencer ou de dépasser qui que soit.C’est de montrer qu’on peut faire la même chose et avoir son pain quotidien》
Avec trois maisons de production aujourd’hui et vingt- cinq employés,I’AM 237 n’entend pas s’arrêter là et promet encore plus de merveilles dans un proche avenir
Par : Sandrine Babo
