Au Kenya, la prestation de serment d’Uhuru Kenyatta, mardi, a mis fin à plus de 100 jours de période électorale, mais pas à la crise politique. Dans son discours d’investiture, prononcé devant une dizaine de chefs d’Etats et des dizaines de milliers de partisans, Uhuru Kenyatta a prêché l’unité. Mais quelques heures plus tard seulement, Raila Odinda annonçait qu’il serait également investit président du peuple dans deux semaines.